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Pola » n’est pas un objet fini, l’installation
évolue formellement chaque heure de la journée, ne
pouvant jamais refléter deux fois le même paysage, deux
fois la même lumière. Sa surface emprunte les
bioproprietées des plumages du colibri ou des ailes des
papillons qui s’active au contact des visiteurs. Une lecture
pixelisée chaque fois unique, qui trouble les perceptions, les
sens, les perspectives et les couleurs. En constante
métamorphose, l’horizon se décompose, se compose et
se recompose dans un jeu de construction infini.
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